Cette réflexion a démarré sur le mur d’une amie, à propos d’une discussion sur le désir féminin et l’asexualité ; une jeune femme est intervenue, qui se disait « asexuelle » alors qu’elle est en couple avec un partenaire qui ne l’est pas, ce qui a priori posait problème. Elle confiait que « son homme » avait des « besoin sexuels », avait « besoin de rapports », mais elle pas. Et elle s’estimait satisfaite du compromis qu’ils ont trouvé, un « sacrifice mutuel »: elle refuse ces rapports non voulus deux fois par semaine mais elle se laisser pénétrer pour lui faire plaisir deux fois par mois.
Si ce compromis boiteux la satisfait, c’est son affaire. Là où j’ai tiqué, c’est quand cette jeune femme vantait ce type de compromis comme nécessaire dans un couple et prétendait poser sa solution personnelle en généralité valable pour toutes les femmes.
Les femmes, selon elle, doivent accepter de renoncer à avoir la sexualité (ou…
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